« On se cogne à notre rationalité limitée face à la complexité du monde mais surtout au toujours difficile changement de paradigme et d’idéologie. Le risque est que cela nourrisse tous les obscurantismes, les convictions intimes, la simple intuition même ou le sentimentalisme alors que nous avons besoin d’une rationalité supérieure (plus prudente), de la construction d’une intelligence collective et d’une véritable démocratie cognitive, que nous devrions commencer à construire entre nous au moins… »
Citation introductive de Jean Zin, très spinoziste en l’occasion. De manière complémentaire, peut-être pouvons nous illustrer ces « convictions intimes, la simple intuition même ou le sentimentalisme » à partir d’un commentaire de Chantal Jaquet[1]à propos de l’Ethique de Spinoza. En substance, nous croyons que les choses sont bonnes ou mauvaises en elles-mêmes, or les concepts de bon et de mauvais que nous formons ne font que décrire les rapports entre les choses et nous. C’est-à-dire la manière dont elles nous affectent. Bon ou mauvais décrivent l’histoire de notre rencontre avec le monde, mais ne sont en aucun cas l’expression des propriétés de ce monde.
http://www.dailymotion.com/video/x4mgiz
Le monde n’est pas transparent, le savoir n’est pas donné. Ceci étant dit et répété tant il est curieux de constater notre manque du premier des principes de précaution : le savoir comme produit de son temps.
Notre urgence écologique de la mesure universelle fait l’économie de l’histoire… Pour nous, la terre va mal, les écosystèmes naturels vont mal. Pour être capable de dire ça, nous évaluons des signes, qualifions et interprétons un ensemble de perceptions et de mesures issues de notre appareillage scientifique, lui-même producteur et produit de nos systèmes de valeurs. Si les signes de tension se multiplient, que dire de l’observateur objet d’étude délaissé en la matière ? Que dire de nous, hommes, de notre écologie mentale et de ses productions actuelles (concept, affect, percept and so on) ? Le savoir comme produit de son temps.
« Voilà la loi que je propose: quiconque aura corrompu l’eau d’autrui, eau de source ou eau de pluie ramassée, en y jetant certaines drogues, ou l’aura détournée en creusant, ou enfin dérobée, le propriétaire portera sa plainte devant les astronomes et fera lui-même l’estimation du dommage. Et celui qui sera convaincu d’avoir corrompu l’eau, outre la réparation du dommage, sera tenu de nettoyer la source ou le réservoir conformément aux règles prescrites par les interprètes, suivant l’exigence des cas ou des personnes. » Platon, Les lois, livre VII 400 a. JC
400 a. JC, au moins dira-t-on du principe pollueur/payeur. Aujourd’hui nous réinventons bien des roues sans racine ni aile, nous produisons beaucoup de neuf prêt-à-penser en déshabillant nos anciens. Un nouveau plan Marshall est à l’étude, son projet, circonscrire les fils de l’ordre du nouveau propre sur projet unique: réparer les erreurs de leurs sales et vieux de pères. Heureusement pour les familles, c’est l’image désarticulée d’un Descartes de supermarché (le concepteur de tous les murs de l’histoire) qui récoltera colères et crachats de tous.
De la pomme au CO2, il n’y a pas à dire, Adam a fait un sacré chemin ! De prescriptions en presciptions les idées tournent et reviennent sur elles-mêmes. Le retour du même oublié, mais interrogé autrement. Ce qui dit en passant ne préfigure en rien de la qualité, comme de la nouveauté des interrogations en question. Sauf bien entendu à croire en une certaine linéarité du progrès, tout en la dénonçant par ailleurs.
Deux articles rencontrés sur le web viennent faire quelques échos. Chacun à leur manière illustrent de la nécessité fondamentale qu’aurait tout savoir dans l’enfance à se penser contre lui-même, contre ses tentations isolationnistes. Ne pas se figer dans des objets d’étude préconstitués en prétextant de l’urgence, préserver la complexité en pariant sur la lucidité de son auditoire. Pour l’écologie, cela passe notamment par un dialogue constant avec l’ensemble des sciences sociales en tant qu’ouverture préservée sur le dehors, en tant que non exclusion de la question de l’homme. Appel que nous avions tenté de formuler dans une note précédente.
Le premier article de Martine Tabeaud concerne la construction de l’objet d’étude qu’est le climat. Comment et pourquoi la question climatique revient-elle ? Faute d’histoire ou d’archéologie, nous nous accordons pour disserter des conséquences du dérèglement d’un objet sans même interroger ce dont quoi nous parlons. Ainsi, tout ne peut-être que nouveau!
« La decouverte (recente) du fait que la Terre est finie montre que la croissance illimitee de la consommation de ressources non renouvelables est strictement impossible. » Une autre croissance, Les Echos, 04/01/07, par Alain Grandjean, Patrick Criqui et Jean-Marc Jancovici.
Ne reprenant ici que l’introduction et la conclusion de l’article d’utilité publique de Martine Tabeaud, son intégralité est disponible à cette adresse.
***
« Concordance des temps », de Le Verrier à Al Gore par Martine Tabeaud, EspacesTemps.net, Actuel, 18.02.2008
Introduction
» Le climat redevient un objet géopolitique avec le « réchauffement planétaire » : de nombreux articles ou ouvrages postérieurs aux années 1980 l’attestent. L’étonnant, dans cette manière de voir est cependant qu’elle n’est guère nouvelle. D’un siècle à l’autre, tout a été expliqué par le climat : la diversité des hommes, celle des paysages, des civilisations, la marche de l’histoire depuis les migrations jusqu’aux révoltes, etc. Un lien fort existe, dans de nombreuses sociétés, entre ceux qui « comprenaient le climat » et ceux qui possédaient le pouvoir. En témoignent les religions où les dieux, situés dans le ciel, parlent aux hommes par les désordres du climat (mythe du déluge, foudre) et où des sorciers, prêtres, sauveurs intercèdent pour les humains auprès des divinités célestes. Toutes les civilisations ont eu leur grande inondation et attendent leurs cavaliers de l’Apocalypse. Ces croyances sont plus proches de nous qu’on ne l’imagine puisque par exemple une loi anglaise de 1677 condamnait encore au bûcher les météorologues, taxés de sorcellerie. Le passage à l’an 2000 a même réveillé des peurs, des menaces terrestres et célestes que l’on pensait oubliées.
Ce recours aux dieux du ciel, aux astres lointains s’enracine dans l’imaginaire. Or, à la différence du temps qui est perçu, le climat est une abstraction. En conséquence, le regard porté par une société sur son (le) climat s’inscrit dans une vision d’ensemble de valeurs collectives. Il est envisagé comme stable ou comme changeant selon que prévaut l’idée que l’on se fait du mouvement, de la dynamique. Quant à la place de l’homme face au climat, elle se veut soit celle du spectateur, et donc de la victime, soit celle de l’acteur pour le meilleur (réduire les émissions de gaz à effet de serre) et pour le pire (perturber gravement le système planétaire).
Afin de mieux comprendre l’approche actuelle du climat « planétaire », en « changement », il convient de faire un peu d’histoire, de revenir sur la période de la Révolution industrielle. Pourquoi ? Parce que, selon une certaine vision du réchauffement climatique, l’usine, la locomotive et le bateau à vapeur seraient la cause du réchauffement contemporain, puisque la hausse thermique mondiale débute vers 1850 et qu’elle est attribuée à la combustion des énergies fossiles qui dégagent un résidu : le CO2. Or, c’est à la même époque, au milieu du 19e siècle qu’est mis en place le réseau météorologique. Il fournit les seules données mesurées utilisées pour l’étude du climat, puisque antérieurement elles sont reconstituées.
Cette période de Révolution, en Europe, dans un contexte d’industrialisation et donc d’urbanisation des territoires, s’accompagne, chez les élites, d’une idée de la science positive, du progrès continu, de la croissance recherchée, de l’entreprise conquérante. Ce modèle a fortement influencé la conception du temps météorologique et du climat, d’autant qu’à partir des Lumières, la sensibilité à la Nature change, cette dernière devenant largement idéalisée [...] »
Conclusion
Les racines de la conception actuelle du climat « global » et de son changement sont en germe dans la météorologie naissante lors de la Révolution industrielle en Europe. Les méthodes choisies alors ont imposé une hiérarchie des disciplines scientifiques, une spécialisation croissante du savoir. Elles ont opéré le glissement du réel vers le virtuel, des échelles fines vers la planète, de la science en train de se faire vers une communication reposant sur une modélisation simpliste.
Après les Trente glorieuses, et surtout depuis les années 1980, l’écho du discours sur le changement climatique tend à une remise en cause des idéaux du 19e siècle en ne considérant plus que leurs revers : le « tout croissance », la démocratie sans participation, les progrès seulement technologiques. Le climat, tout comme l’environnement en général, est devenu un point d’ancrage de nouvelles valeurs supposées universelles, le catalyseur d’un espoir de nouvelle civilisation plus juste et plus responsable, une nouvelle utopie en quelque sorte, où le discours scientifique prend parfois des accents évangéliques.
***
Fidèle à notre ligne de vide qui consiste à faciliter toujours un peu plus de perte de mémoire afin de mieux réinventer des roues prêt-à-penser-sympa-people sur le dos des anciens, un regard sur le travaux de Charles Fourrier (1772-1837).
Outre la formidable clairvoyance du personnage, ce dernier illustre également bien des méfaits possibles nés de la professionnalisation : l’isolation de son objet d’étude accompagnée d’un retrait sur son sillon de professionnel qui ne mène plus qu’à guérir que ce que l’on produit, à ne rechercher dans le réel que ce qu’on y a déjà mis. Un processus qui aboutit au final, comme le disait Guattari, à une: « standardisation de la communication et de la subjectivité ».
Une standardisation sans doute indispensable si l’on s’en tient à l’idée d’un village planétaire dans le modèle. Quand bien même il resterait envisageable que tout cela ne durcisse pas trop vite. Rien de bien neuf ici et là, si ce n’est l’accélération de la colle.
« Un plan Marshall ecologique peut etre un projet mobilisateur pour tous les jeunes, y compris ceux que nous ne savons pas aujourd’hui accueillir correctement dans la société. » Une autre croissance, Les Echos, 04/01/07, par Alain Grandjean, Patrick Criqui et Jean-Marc Jancovici.
Au moment ou nous souhaitons produire en masse ces nouveaux ouvriers de l’environnement, une relecture de Fourier semble profondément d’actualité. « Une nouvelle utopie en quelque sorte » nous disait Martine Tabeaud en conclusion de son article sur le climat, précision de Sherer à propos de Fourier: « il ne s’agit pas d’opposer ici l’utopie à la science. Fourier vise une science encore manquante ».
***
Article de Louis Ucciani sur l’ouvrage de René SCHERER consacré à Charles Fourier
Référence : “SCHERER René : L’Ecosophie de Charles Fourier (2001) ”, Cahiers Charles Fourier, n° 12, décembre 2001, pp. 114-117, disponible en ligne : http://www.charlesfourier.fr/article.php3?id_article=205.
» […] le texte de Fourier ici présenté autour de ce qu’on nommerait aujourd’hui l’écologie, et que Schérer nomme Écosophie […] retrouve ce que Guattari a pu exprimer dans Les trois écologies (1989).
« Fourier a pensé, a écrit dans le champ, sur le plan d’immanence d’une écosophie avant la lettre. Écosophie parce qu’aucun autre mot ne peut lui convenir, et surtout pas celui qui le réduirait à n’être que le préfigurateur d’un socialisme dit scientifique. Non, il ne s’agit pas d’opposer ici l’utopie à la science. Fourier vise une science encore manquante. », p. 19.
D’autre part le mouvement arômal adjoint par Fourier aux Quatre mouvements (physique, instinctif, organique et social), aurait de fortes similitudes avec l’entreprise deleuzo-guattarienne.
« Il est aisé alors de reconnaître, avec l’arômal, la présence des flux, des machines, des devenirs moléculaires de Deleuze et Guattari, au plan desquels tout se passe réellement. L’univers réel de Fourier, la matérialité des mouvements qui sont aussi mouvements spirituels réside dans ce fluide invisible des arômes. C’est donc dans le cadre du moléculaire que l’unité des trois écologies – dans lesquelles il sera possible de replacer les mouvements de Fourier – trouve sa force et sa légitimation. Et l’écosophie se justifie philosophiquement dans son concept, de ce qu’elle ne laisse pas subsister à part un dehors qui se réduirait à l’extériorité du monde physique et un dedans identifié à l’intériorité d’un moi pensant. Entre les deux il y a communication et passage. » p. 20.
Schérer prolonge sa lecture comparative et voit par exemple, la Cosmogonie de Fourier à l’œuvre implicitement dans les textes de Deleuze et Guattari : « Il n’est besoin que de mettre en regard avec Fourier certaines pages de Chaosmose, ou celles, écrites dans un horizon écosophique de Qu’est-ce que la philosophie ?, animées d’une même intention cosmique, du débordement de la simple philosophie de l’objet et du sujet dans une vision qui embrasse le flux universel de la vie, la multiplication des flux d’une vie organique et inorganique à la fois. » p. 21.
Sans doute faut-il voir dans ces rapprochements plus la force visionnaire de Fourier qui anticipe les avancées philosophiques qu’une influence proprement dite. Subsiste que la notion d’écosophie introduite ici par Schérer, affirme sa double filiation, Fourier et Guattari […]
[…] On pourra dire que c’est un grand mérite et d’un grand intérêt que d’avoir exhumé ces deux textes. Ils mettent le doigt sur l’étonnante modernité de Fourier et le replacent au cœur des problèmes contemporains. Certes le constat opéré par Fourier peut dater et semble en totale opposition avec celui que nous ferions aujourd’hui. Alors que l’effet de serre induit un réchauffement de notre planète, Fourier articule tout son développement sur une voie autre, il constate un refroidissement de la planète. Cependant, loin d’invalider son propos, cela lui fait retrouver les bases de l’écologie contemporaine dont il est sans doute le précurseur. Si l’on évacuera ici les données relatives à la sexualité des planètes et à la névrose qui affecterait la nôtre (« Il est évident que la planète est tourmentée du besoin de copuler et de procréer, on s’en aperçoit à la fréquence des aurores boréales qui sont une pollution de l’Astre, un indice irrécusable du besoin qu’il éprouve. Ces privations forcées ne peuvent manquer d’affecter gravement sa santé qui périclité d’une manière alarmante surtout depuis un siècle. », p. 34), et tout ce qui a trait à un anthropomorphisme du monde planétaire (« la planète se trouve en analogie parfaite avec le corps humain, excepté que son sang, nommé fluide magnétique, ne circule pas en canaux fermés comme les veines et les artères… », p. 41), notons cependant que, comme c’est toujours le cas chez Fourier, à travers la fantaisie pointe quelque chose d’autre. Schérer remarque qu’« en leur temps, les théories cosmologiques de Fourier étaient moins faites pour étonner qu’au nôtre. » (p. 6) Il développe les liens possibles : « S’il ne connaissait sans doute pas Franz von Baader et son système mystique inspiré de Jakob Boehme, il lui arrive de mentionner Schelling. Par lui, il se rattache à la tradition d’un animisme universel, tel qu’on pouvait l’interpréter déjà à travers la Monadologie de Leibniz et, en deçà, Plotin, voire les pré-socratiques. » (p. 6)
La thèse principale énonce que les « désordres climatériques sont un vice inhérent à la culture civilisée ; elle bouleverse tout par le défaut de proportions et de méthodes générales, par la lutte de l’intérêt individuel avec l’intérêt collectif » (p. 67). C’est entre plusieurs exemples de dérèglements et il faut bien l’admettre, entre plusieurs dérives cosmologiques, que l’on voit pointer une critique du travail humain responsable des ruptures aromatiques : « Ne voyons-nous pas le travail de l’homme opérer des modifications climatériques vraiment énormes ? » (p. 33), ou encore, plus loin, ceci : « L’agriculture civilisée et barbare, dont on nous vante les prodiges individuels, a la ridicule propriété de dégradation collective ; elle détruit son propre sol au lieu de l’améliorer. » (p. 67). D’où pour Fourier « l’urgence de sortir promptement de l’état civilisé, barbare, sauvage, et de remédier aux souffrances matérielles de la planète par là même qui mettra un terme aux misères humaines. » (p. 32).
Tout est bien de nature médicale ou, en tout cas, tout peut se ramener à cela. Fourier engagé à guérir le monde exerce sa critique à l’art de guérir. Ici encore, dans De la médecine naturelle ou attrayante composée, ses qualités de compréhension visionnaires sont à l’œuvre. Il repère le paradoxe de la médecine qui ne soignerait que ce qu’elle produit et engage une critique tout à fait actuelle […]
Nous retiendrons ici deux moments de la critique. Tout d’abord, la remise en question de la structure hôpital. Ce que Foucault saura montrer, Fourier l’énonce : « Les établissement médicaux dont s’honore la Civilisation sont la première chose qu’il faut supprimer en médecine passionnelle. Il n’y aura pas d’hôpitaux en Harmonie. » (p. 135) La remise en question de l’hôpital, ouvre à une autre compréhension, celle de la maladie mentale. Alors qu’on enferme encore qui souffre « psychiquement », Fourier note combien « La médecine civilisée ne fait rien et ne peut rien pour l’âme, loin de là elle ajoute souvent le mal moral au mal physique. » (p. 135) Il dégage, anticipant Foucault, une double critique, celle du traitement de la maladie mentale et celle de l’hospitalisme. La maladie mentale est le produit d’un dérèglement des passions, situation des plus banales en Civilisation. Fourier anticipant sur les statistiques contemporaines, note que : « la démence est une maladie fort étendue. Le nombre des fous, bien plus grand qu’on ne pense, comprend à peu près 2/3 des civilisés. » (p. 134) Le traitement ne peut venir que d’une sortie hors la civilisation. Tout au mieux en celle-ci, un peu de bon sens suffirait : « Souvent l’emploi des fruits, des confitures, du vin, du café et autres substances agréables, serait plus efficace, que les drogues répugnantes dont on assassine le malade. » (Ibid.) ; notons que ce que dit ici Fourier est d’une étrange actualité. Et finalement c’est bien hors la médecine qu’il faut envisager le problème : « Au fait, si les maladies mentales proviennent de dérangements dans l’équilibre des passions, c’est par les contrepoids de passions qu’il faut les traiter, et ce n’est point l’affaire de la médecine, ou bien ce sera l’ouvrage d’une espèce de médecine qui n’est pas encore née et dont quelques hommes de l’art ont pressenti le besoin. » (Ibid.) On peut voir ici l’anticipation de ce que Freud introduira, mais aussi malheureusement le constat de ce qui a toujours cours. L’autre médecine, celle qu’on goûterait en Harmonie est bien d’un autre registre et se combine à l’usage gastrosophique : « Il existe donc une médecine attrayante ou naturelle, qui se compose d’aliments agréables, et dont les médecins civilisés n’ont pas la moindre notion. » (p. 153) [...] «
***
+ Un ensemble de textes de Fourrier disponibles en ligne
+ Un ensemble de textes de Guattari disponibles en ligne
+ Tags associés à Deleuze / Guattari, blog Jean-Clet Martin