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Archive mensuelle de décembre 2007

Conter et décloisonner

Conter et décloisonner dans Art et ecologie g

     C‘est avoir une vision bien limitée des problèmes de l’écologie que de croire que nous allons les identifier, pour y répondre, à travers les mesures physico-chimiques de machines qui après tout ne détectent que ce qu’on leur demande bien de detecter. Alors pour y arriver dans cette voie, sans doute devra-t-on nous démontrer que la solution existe en présupposant cette même solution…

http://www.dailymotion.com/video/x4blm8

C’est encore avoir une vision bien limitée que de croire que les arbres et autres végétaux feront le travail pour nous. Collecteur de CO2, et bien plantons ces nouvelles biomachineries et laissons faire la nature. Elle a toujours raison, comme on dira à l’occasion! Reste qu’assez loin de l’idée d’un végétal que nous dominerions du haut de nos multiples savoirs, observons simplement que nos société tendent à opter pour des stratégies organisationnelles (de type) végétales (réseau, rhizome, voir les travaux de R. Bessis). De sorte que le « dominé » n’est sans doute pas du côté que l’on pense tant notre dépendance vis à vis de la plante croît chaque jour un peu plus (nourriture, production d’O2, absorbtion de CO2, lutte contre l’érosion et la désertification, régulation climatique et hydrique, bois énergie, biocarburant, médicament…). N’oublions pas que la forme de vie végétale est la seule capable de puiser son énergie directement à partir du soleil. Le producteur primaire est ainsi le seul à tiré son énergie hors de la terre, les pieds pourtant fermement immobilisés dedans.

Mais bref, et les hommes dans tout ça ? Un simple pilote au-dessus de la mêlée ? Mais parmi toutes ces « solution-machines », ont-ils encore leur mot à dire une fois dit que la question écologique implique certainement de travailler directement l’étoffe même des choses dont ils sont faits ?

http://www.dailymotion.com/video/x3wsaw

Il y a de la résistance dans l’écologie. Résistance au dualisme, résistance à la tentation de se penser comme « un empire dans un empire« , résistance aux machines de la science et aux sillons des professionnels par une écologie capable de penser contre elle-même, résistance à un certain type de rapport de production and so on… En un mot peut-être, une résistance à toute formulation de type: « moi, j’ai la solution« .

danse1 dans Biodiversité

Alors à la suite de Deleuze et de bien d’autres, on s’insèrera par le milieu les pieds dans l’herbe pour chanter que: « créer c’est résister« . Si les arbres collectent et machinent le CO2, nous collectons des histoires, des perceptions et composons des oeuvres, des récits… Soit autant de graines englobant des modes d’existence passés et à venir. Pour notre conte, mais pas uniquement pour notre compte. Pour d’autres hommes, mais aussi comme un pont tendu vers et à destination de nouvelles formes de vie à venir. Cartographe, historien, poète, musicien, écrivain, écologue, banquier… nous participons tous par nos collectes à la diversité du phénomène du vivant. Alors l’écologie c’est aussi protéger ces espèces immatérielles nées de nos perceptions, et qui témoignent pour la vie dans son ensemble. Avec et sans nous, aux armes…surmonter ! 

Il ne s’agit donc pas de planter mécaniquement, partout et en tout lieu, des arbres pour une même fonction. Ils savent le faire tout seul, sous reserve de leur garantir les territoires et conditions pour se faire. Mais planter des récits comme autant de graines des nouvelles diversités et modes d’existence à produire, voilà peut-être bien une action humaine à replacer très haut dans la hierarchie de ce que pourrait-être une écologie étendue (?!)

http://www.dailymotion.com/video/x3w9xv

Parmi les récits de l’écologie, restent encore à bien des choses à écrire, créer, englober… intégrer. Qui sont, que deviennent nos personnages, où sont nos mondes ? Savoir conter tout autant que compter.

http://www.dailymotion.com/video/x3x1a6

Micro-tentative fantasmée d’auto-bio-récit-graphie sur lignes climatiques (:?! rassemblement de membres épars)

http://www.dailymotion.com/video/x3xay2

Vers une contre marche des pinguoins freegurants du spectacle ?

Et si les pingouins n’étaient après tout que d’horribles fascistes principalement intéressés au cours du pétrole ? Et si les religieuses sardines devenaient stériles à l’écoute du chant des hommes ? Et si, et si… Si l’homme a toujours eu tendance à figurer les forces impersonnelles de la nature à travers les animaux, il semble qu’un drôle de basculement se soit silencieusement opérer: en charge maintenant aux animaux de figurer les croyances d’hommes devenus soudainement réticents au fait de jouer eux-même leurs propres comédies. L’arrière monde blanc des pingouins empereurs, dernier refuge du bonheur humain ?

We want to pe paid !

µtime: Monsieur le réprésentant des pingouins en colère, pourriez-vous nous présenter en quelques mots l’essence de vos revendications ? Pourquoi et comment contaminer un espace public déjà fortement saturé de revendications catégorielles de toutes les natures ?

Pingouin: Tout d’abord, merci de me permettre cette petite ouverture de la calotte médiatique. Vous parliez réchauffement climatique tantôt, reste qu’il fait encore assez froid chez vous pour qu’elle durcisse encore à ce point. Quelqu’un s’occupe de maintenir des ouvertures ?

µtimeNotre espèce préfère généralement recourir à des couvertures de surface …

Pingouin: Mmmm… Bien, donc revenons à votre question. Voyez autour de vous, nous ne sommes que quelques-uns ici… ils ont été des millions à nous prendre pour des cons ! Il n’était donc que temps de reprendre la parole qui nous avait été odieusement dérobée… et c’est le moins dire!

µtimeDérobée par qui et par quoi ? 

Pingouin: Aujourd’hui, nombre des pingouins que je représente souhaitent s’exprimer très ouvertement sur l’exploitation abusive dont notre espèce a fait l’objet à partr de 2004. Rendez-vous compte que la Marche de l’empereur a récolté sur le marché US pas moins de 77 millions de dollars en quelques 160 jours d’exploitation ! Mais nous les pinguoins, nous les acteurs… nous n’avons toujours pas vu la couleur du premier billet !

µtimeUne petite vodka glace en fin de tournage ? 

Pingouin: Pas même le remboursement de la première semelle de marche ! Mais croyez-vous que nous soyons encore crédibles devant les sardines après ce genre de traitement ? Ne serait-ce que l’autre jour… je m’apprêtais à déjeuner tranquillement quand l’une d’elles se retourne dans mon assiette pour me dire: « tu ne tueras pas ton prochain ! » Et de continuer: « qui vole une sardine perd son oeuf ! » Alors je vous le demande bien… quitte à nous faire passer pour des andouilles devant l’ensemble des bêtes, pourquoi ne pas aller en retour jusqu’à nous payer les justes dédommagements que la situation exige ?

µtime: Sans doute parce que vous êtes des bêtes… c’est ça qui vous dérange ? Parce que vous me parlez des sardines, mais vous-même, n’auriez-vous pas développé certains problèmes identitaires suite à cet immense succès terrestre ? Après tout vos êtes plutôt des animaux marins, ça doit vous faire drôle Hollywwod, non?

Pingouin:  Soyons un peu sérieux et regardons les choses en face ! Nous ne sommes, et ne seront jamais que de pauvres acteurs instrumentalisés au service du syndrome de l’ours en peluche… Mais il est vrai que niveau charges sociales, nous n’avons pas beaucoup de concurrent sur le marché ! Alors dites moi, comment rentre-t-on dans l’écosystème économie ? Par cooptation des espèces ? Doit-on monter un dossier ou alors vient-on vous chercher directement à la maison ? Je discutais l’autre jour de mes droits avec un expert et il m’a dit: « mais voyons monsieur le pingouin, vous y êtes de plein pied dans la société du spectacle… précisément sur un segment très porteur: mon enfant est un animal, il ne parle pas ! »

µtime: Vous ne pouvez tout de même pas reprocher aux hommes d’avoir instinctivement une attitude affectueuse envers…

Pingouin: Ecoutez, votre espèce devrait aussi comprendre qu’il nous arrive également de manger du poisson, et que ça coûte cher ! Nous ne sommes pas que de simples tendres et fidèles pénitents… et si nous nous regroupons ce n’est pas tant par fraternité que par nécessité !

µtime: Qu’avez-vous justement à répondre à des personnes comme Jill S., opposante US à l’avortement qui affirme que « chacune de vos scènes permet de s’assurer de la beauté de la vie et du bien-fondé de sa protection ». Ou encore à Mari H., critique américaine qui voit dans votre comportement  »une indication exceptionnelle de l’existence et du rôle de Dieu ».

Pingouin: Dieu ? La marche des hébreux ? Les papas-mamans ? Mais que peut bien signifier ce concept de vie que vous nous mettez à toute les sauces ?  Tout ce qui n’est pas vous, où plutôt, partout où vous n’êtes pas ? Avec cette satanée mauvaise conscience qui habite votre espèce, on se demande bien comment vous avez pu arriver un jour en haut de la chaîne…  et comme le dit Platon le manchot, un ciel capable par sa vertu propre de demeurer en soi-même, mais se connaissant et s’aimant lui-même suffisamment.

µtime: Vous connaissez Platon ?!?

Pingouin: Je dirais même plus, nous connaissons aussi Zola! Et nous sommes dès maintenant pour un véritable Germinal du pinguoin ! Et plus généralement de toutes les espèces qu’on se permet d’accuser d’hominitude devant les autres ! Nous travaillons d’ailleurs actuellement à associer à notre combat toutes les victimes des documentaires antrop-occidentalo-morphes. Je viens de rencontrer en ce sens certains des freegurants du cauchemar de Darwin, ils sont tout à fait en accord avec nos thèses. Hommes animalisés et animaux humanisés, ceci est un message solennel à tous les manipulés gisants des mornes plaines audiovisuelles: unissez-vous, rejoignez-nous !

Vers une contre marche des pinguoins freegurants du spectacle ? dans -> ACTUS sfbforstbaumschulenpinguinewueste

µtime: A partir de ce point de vue, formulez-vous des revendications matérielles plus concrètes ?

Pingouin: Afin de contrebalancer les effets désastreux qu’ont vos caricatures animées sur nos sources d’approvisionnement, il doit dès à présent nous être assuré les moyens d’une large campagne de diffusion auprès des sardines. Sur la tranche des 0 à 18 jours, la plus sensible. Imaginez un peu une vache venir vous dire devant l’abattoir: « je vous ai vu à la télé hier soir, et vous étiez ridicule à glisser dans l’herbe derrière votre chien« . Comment voulez-vous manger un animal qui pense comme ça ? D’ici à ce que nos sardines soient polluées de vos religions et qu’elles en deviennent ascétiques jusqu’à oublier de se reproduire, je n’y vois qu’un pas ! Pourquoi vivre si c’est pour ce faire manger par un pingouin qu’elles commencent à se dire !

µtime: Et bien j’imagine qu’on pourrait envisager d’interdire la marche de l’empereur aux sardines de moins de 18 jours ?

Pingouin:  Ecoutez… dans un monde interconnecté où tout le monde nage librement, cessez  de croire que les sardines n’auraient pas accès à l’ensemble des bancs de diffusions ! Nous l’assumons, nous sommes pour la censure la plus stricte en la matière ! Et si nous ne sommes pas particulièrement légalistes, la prochaine fois nous n’hésiterons pas à aller devant les tribunaux faire valoir notre juste droit à l’image !

µtime: En quelque sorte, vous demandez qu’on vous foute la paix! Mais vous dites vous-mêmes que nous vivions tous sur une même planète. Ne pensez-vous pas alors que nous appartenions à une même communauté de destin ? Et si oui, en quoi une censure générale ne serait-elle pas une réaction fâcheuse et arbitraire ?

Pingouin: Mais vous voulez qu’on participe à quoi exactement ? Quelle est la place que vous nous proposez ? Ouvrez un peu les yeux, nous ne sommes que des têtes sur des tee-shirt ! J’en profite d’ailleurs pour rassurer ici l’amicale des ours en peluche, nous ne tenons absolument pas à prendre leur place dans le lit de vos imaginaires ! 

µtime: Si je vous ai bien lu, vous refusez également, et très fermement, de faire parti du NCBA (Natural Charity and Business Act). Les bébés phoques, le panda, la baleine bleue, et l’ours blanc semblent ne pas devoir partager votre opinion par exemple. Ne pensez-vous pas également que cette posture soit celle d’un autre âge ?

Pingouin:  Vous citez là quelques espèces chez qui la volonté de se donner à voir dans les médias n’est le fait que de très rares individus. Ceux qui ne sont pas encore éliminés, une poignée, ceux que vous avez pris soin de sélectionner au faciès, soit une autre poignée de la poignée. Je le dis d’ailleurs au passage afin d’éviter tout malentendu éventuel, comme bébé phoque devenu grand nous mangera tout naturellement, c’est avec la plus grande vigueur que nous soutiendrons toute politique d’extinction massive de cette espèce ! Alors oui, nous les pingouins demeurons dans un certain âge de glace et de pierre… sûrement… et alors ? Ce n’est pas ça qui vous fait rêver chez nous ?

µtimePour conclure sur une note disons plus positive, auriez-vous un conseil à donner aux humains dans les rapports que ceux-ci entretiennent avec le monde animal?

Pingouin: Humains idéalo-contemplatifs, suivez mon conseil et débarrassez vous au plus vite de cet encombrement de la pensée qui ne vous mène qu’à ce que les futuristes italiens appelaient en leur temps ce bien triste mimétisme sentimental d’une nature apparente. Les bras nous en tombent de devoir vous raconter des histoires à dormir debout ! Vous voulez nous aider ? Continuez plutôt à faire la peau des phoques et laissez les japonais tranquilles… Je vais même vous dire, parmi les plus vieux d’entre nous, certains préfèrent encore très nettement l’époque où vous nous chassiez, plus respectueux comme ils disent…

30sec dans Ecosysteme TV.fr

[off] …. dites moi, il est à combien le cours de la sardine chez vous en ce moment ? En ce qui nous concerne on traverse une mauvaise passe avec cette nouvelle concurrence des phoques à moteur qui viennent râcler nos fonds de tiroir…  la sardine centrale tente bien de maintenir les cours, mais de plus en plus de pingoins vivent à crédit sur des frigidaires… bien sûr que la libéralisation des prix en basse mer a été une catastrophe… Vous dites ? Vous n’avez pas de solution non plus ? Décevant ! On se demande bien à quoi vous pouvez servir …  passer moi votre caméra, je voudrais faire une photo de vos lunettes pour ma femme !

untitled dans La contre marche du pingouin

L’agencement collectif d’énonciation

Gratouiller le sol à la recherche des nouveaux concepts qui nous permettraient de renouveler, voire d’inventer de nouvelles pratiques de l’écologie, de l’urbanisme… L‘article suivant tiré du blog de l’anti-oedipe en question animé par Elias Jabre nous permet de mettre à jour quelques fragments du concept d’agencement collectif d’énonciation. A compléter ultérieurement.

http://www.dailymotion.com/video/4yGDJmxxLZnOWquzo

Le concept d’agencement collectif d’énonciation de Guattari-Deleuze permet de sortir de la logique du signifiant. Le sujet n’est plus un individu isolé avec ses signifiants, mais fait partie d’un agencement où il (est) interagi(t) avec un milieu et un groupe qui produisent un agencement collectif d’énonciation en évolution permanente.

L'agencement collectif d'énonciation  dans Deleuze r

« (…)  la fonction langage… n’est ni informative, ni communicative ; elle ne renvoie ni  à une information signifiante, ni à une communication intersubjective. Et il ne servirait à rien d’abstraire une signifiance hors information, ou une subjectivité hors communication. Car c’est le procès de subjectivation et le mouvement de signifiance qui renvoient à des régimes de signes ou agencements collectifs. (…) la linguistique n’est rien en dehors de la pragmatique (sémiotique ou politique) qui définit l’effectuation de la condition du langage et l’usage des éléments de la langue. »

 « (…) Il y a « primat d’un agencement machinique des corps sur les outils et les biens, primat d’un agencement collectif d’énonciation sur la langue et les mots. (…) un agencement ne comporte ni infrastructure et superstructure, ni structure profonde et structure superficielle mais aplatît toutes ses dimensions sur un même plan de consistance où jouent les présuppositions réciproques et les insertions mutuelles.(…) mais si l’on pousse l’abstraction, on atteint nécessairement à un niveau où les pseudos-constantes de la langue font place à des variables d’expression, intérieures à l’énonciation même ; dès lors ces variables d’expression ne sont plus séparables des variables de contenu en perpétuelle interaction. Si la pragmatique externe des facteurs non linguistiques doit être prise en compte, c’est parce que la linguistique elle-même n’est pas séparable d’une pragmatique interne qui concerne ses propres facteurs » ( …).

« Car une véritable machine abstraite se rapporte à l’ensemble d’un agencement : elle se définit comme le diagramme de cet agencement. Elle n’est pas langagière, mais diagrammatique, surlinéaire. Le contenu n’est pas un signifié, ni l’expression un signifiant, mais tous deux sont les variables de l’agencement. »

http://www.dailymotion.com/video/x3t5zy

(…) « L’unité réelle minima, ce n’est pas le mot, ni l’idée ou le concept, ni le signifiant mais l’agencement. C’est toujours un agencement qui produit les énoncés. Les énoncés n’ont pas pour cause un sujet qui agirait comme sujet d’énonciation pas plus qu’ils ne se rapportent à des sujets comme sujets d’énoncé. L’énoncé est le produit d’un agencement toujours collectif qui met en jeu en nous et dehors de nous des populations, des multiplicités, des tentations, des devenirs, des affects, des évènements. »

(tiré de Dialogues et Mille plateaux)

http://www.dailymotion.com/video/xsmh4

Terres émergées : désertification interne, montée des eaux externe

http://www.dailymotion.com/video/5BoYMfA80lC5Fqn9e

« Un tiers de la superficie des terres émergées du globe [ndlr : 4 milliards d’hectares, soit l’équivalent de la surface forestière] est menacé par la désertification, et plus de 250 millions de personnes sont directement affectées par ce problème. 24 milliards de tonnes de sols fertiles disparaissent chaque année. »

+ UNCCD

@ Earth Policy Institute

@ Earth Policy Institute

Source : http://www.earth-policy.org/Indicators/

« Les forêts couvrent près de 4 milliards d’hectares, 30% de la superficie émergée de la planète, mais les deux tiers sont concentrées dans 10 pays seulement: Australie, Brésil, Canada, Chine, Etats-Unis, Inde, Indonésie, Fédération de Russie, Pérou, République démocratique du Congo. Les pertes nettes de superficies boisées enregistrées entre 2000 et 2005 se sont élevées à 7,3 millions d’hectares/an, soit une superficie équivalant à la Sierra Leone ou à Panama. »

+ Evaluation des ressources forestières mondiales 2005 – FAO

@ Earth Policy Institute

Source : http://www.earth-policy.org/Indicators/

Eh bien ! dansez maintenant ?

http://www.dailymotion.com/video/3JB5SiXAEmODOpOUT

Source audio d’après : « Comment nourrir la planète« , du grain à moudre , France Culture
Source vidéo d’après : « Salomé« , de Carlos Saura

Fable

+ Ecouter en ligne : Comment expliquer la pénurie agricole ? Science publique du 14/12/2007 - France culture.




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